Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! Les beaux jours reviennent et j’en profite à ma façon : je reste toujours chez moi, mais j’ouvre les volets pour laisser entrer la lumière 😛 Une pièce éclairée par le soleil, c’est tellement plus doux ! Ca me rend toujours sereine. De là à sortir dehors, c’est autre chose, et bizarrement ça rend fous mes collègues qui ne comprennent pas XD Je suis casanière, que voulez-vous : vacances à la maison, ma vie et ma passion !
Nouvelle chronique littéraire ! Une BD documentaire féministe, qui m’a été recommandée par plusieurs de mes collègues : Mythes & Meufs de Blanche Sabbah. Sortie au début de l’année 2023, elle a vite été suivie par un deuxième volume en septembre. Le principe ? Décortiquer les figures féminines dans les mythes de toutes les époques et civilisations, leurs interprétations et significations. Diplômée en histoire de l’art et en sociologie, l’auteure avait commencé son travail sous forme de publications dans une revue des éditions Dargaud, jusqu’à ce que son succès lui permette de tout rassembler en livres 🙂
Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! Je tente de composer comme je peux avec une tendinite latente qui m’agace régulièrement, et que je tiens en respect avec des exercices plus ou moins réguliers. J’essaie aussi de ne pas me retrouver déshydratée, plus facile à dire qu’à faire ! Même avec un réveil, j’oublie de boire suffisamment et je peux passer une journée sans prendre un verre d’eau? Même mon patron se moque de moi et dit que je suis comme une petite vieille, ce que je peux difficilement réfuter ! Si ça se trouve, mes 72 chats me trouveront trop coriace à ma mort (avant la retraite bien sûr), et refuseront de dévorer mon cadavre, un comble !
Nouvelle chronique littéraire ! Et coup double cette fois, puisque je vais vous parler de deux BD des éditions Kinaye. Je vous les avais déjà présentées avec la trilogie Le Garçon Sorcière ou encore le génial one-shot Ours, on continue donc nos découvertes ! Tout d’abord Diesel, dont le premier tome est paru en 2019, écrit par Tyson Hesse à qui nous devons rien moins que Le Monde Incroyable de Gumball (ça a l’air d’un dessin animé et pourtant quel régal pour les adultes et quel fou rire !). Pas de second tome à l’horizon pour l’instant, mais je ne perds pas espoir 🙂 La deuxième BD est écrite par Cameron Chittock et illustrée par Amanda Castillo : il s’agit de la trilogie Les Mapmakers. Je n’ai découvert que le tome 1 et n’ai pas encore lu la suite, mais j’ai hâte de pouvoir le faire !
Résumé : Lorsqu’une armée longtemps oubliée surgit des nuages, Diandra « Dee » Diesel prend une décision irréfléchie qui va changer son destin pour toujours. Avec son robot cassé et une mystérieuse machine volante pour seule aide, Dee va faire un voyage qui la mènera de l’obscurité des terres abandonnées situées sous les nuages à la lumière éblouissante de la capitale de son monde. Son plus grand défi sera de s’affranchir de son héritage familial afin de choisir seule sa propre destinée.
Mon avis :
Déjà, j’aime beaucoup le dessin de la BD, qui n’est pas sans rappeler le graphisme des productions Ankama (Wakfu, les premiers Maliki, etc.). La BD a un côté nerveux, à la fois comique et épique qui me plaît beaucoup. Ces traits se retrouvent aussi dans l’héroïne, Diesel, qui est une vraie tête brûlée et une des pires têtes de mule que j’ai jamais lue ! Petite dernière d’une fratrie d’enfants trouvés, elle idolâtre leur père décédé ; or, celui-ci lui a légué le commandement du vaisseau volant abritant la ville où elle habite. A sa majorité, Dee sera capitaine. Le problème, c’est qu’elle est complètement écervelée et impulsive au possible, contestant sans cesse les décisions de sa grande soeur adoptive qui assure l’intérim à la barre du vaisseau. Le jour où Dee vole une étrange machine appartenant à un peuple d’oiseaux géants jadis vaincus et avides de vengeance, elle signe aussi la fin des siens : le vaisseau est abattu. Souhaitant désespérément se racheter, la jeune fille découvre qu’une invasion massive est en cours contre les peuples de la terre ferme. Comment s’y opposer, et surtout pourquoi est-elle la seule à pouvoir utiliser l’énergie mystérieuse des machines du peuple oiseau ? Autant de questions auxquelles elle doit trouver les réponses, mais Dee n’est pas prête à les entendre… L’univers de la BD est vraiment chouette, il y a du mystère et du suspense, on a hâte d’en apprendre davantage. Le rythme est soutenu, pas le temps de s’ennuyer ! La lecture est agréable, et on s’attache petit à petit à Dee malgré sa propension assez inquiétante à faire ce qu’elle veut sans réfléchir ; elle est loin d’être méchante, mais ses souvenirs heureux d’enfance vont lentement voler en éclat. A découvrir donc si vous aimez les univers fantastiques avec une technologie étrange, une histoire pleine de drama et des plans machiavéliques.
Résumé : De génération en génération, les Mapmakers étaient les gardiens de la paix dans la Vallée, mais ils ont maintenant disparu depuis longtemps. De nos jours, les Manteaux Noirs monopolisent le pouvoir d’une main de fer : règles, punitions et conséquences sont leurs maîtres mots. Jusqu’à cette nuit où Alidade, (encore) poursuivie par les Manteaux Noirs pour avoir (encore) enfreint les règles, tombe par hasard sur une porte secrète qui va la mener à une cachette magique construite par les Mapmakers. Elle va y trouver une carte de sa région et accidentellement ramener à la vie Blue, une créature magique qu’on appelle un Memri. Leur rôle était de protéger la Vallée. Blue a besoin de l’aide d’Alidade pour retrouver les Mapmakers et sauver la Vallée des Manteaux Noirs. Mais les Mapmakers ont disparu depuis longtemps. Alidade va devoir faire un choix : s’enfuir de sa vallée comme elle en a toujours rêvée ou… devenir une Mapmaker pour sauver son village !
Mon avis :
Une BD un peu plus posée, mais à l’histoire truffée de bonnes idées ! L’univers des Mapmakers est fascinant et j’ai beaucoup aimé son principe, où les cartes sont réalisées avec les matériaux de la région, avec un style graphique correspondant aux traditions et à l’artisanat local. Tout est basé sur le respect de l’environnement et des fragiles écosystèmes qui le composent : les cartes ne sont pas réalisées dans un but de contrôle, mais plutôt dans un but de préservation et de protection. Elles permettent également à un esprit tutélaire de s’incarner physiquement. Est-ce que je vous surprends si je vous dis que les Manteaux Noirs sont assez défrisés par le concept ? Sous prétexte de contrôle et de réunion des territoires, c’est une véritable tyrannie qu’ils instaurent. La jeune Alidade supporte très mal les exigences et directives établies au quotidien : elle s’échappe régulièrement et rêve de voyages. L’une de ses fugues lui révèle alors qu’elle a le potentiel pour devenir une véritable Mapmaker et restaurer la Vallée dans son état originel ; mais pour ce faire, elle a va aussi devoir désapprendre ses mauvaises habitudes pour trouver comment cohabiter avec son environnement sans lui faire de tort. J’ai beaucoup aimé le duo entre Alidade et son meilleur ami Lewis : ce dernier est beaucoup plus casanier que son amie et se voit très bien rester dans la Vallée où il a grandi. Les deux vont bien évidemment finir par s’opposer, les Manteaux Noirs tentant de manipuler Lewis pour chercher à atteindre Alidade et détruire le Memri Blue. Bref, une BD au concept vraiment chouette et qu’on peut totalement mettre entre les mains d’un enfant à partir de 8-9 ans ! Personnellement, j’ai hâte de savoir la suite 😛
Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! Je suis depuis des semaines sur le même livre, j’espère pouvoir bientôt le finir et vous en parler enfin, mais en attendant… argh c’est long >< Je cumule les malus « roman en anglais + pavé + petite police », autant vous dire que je ne vais pas vite. C’est même assez frustrant, je commençais justement à retrouver un bon rythme de lecture, je commençais à croire que j’allais réussir à faire baisser la PAL, même si c’était une baisse avec autant d’impact qu’un bisou sur une bombe nucléaire XD
Nouvelle chronique littéraire ! Une petite BD cette fois, un one-shot humoristique que j’ai découvert à la bibliothèque. C’est un peu le genre de livre où le titre attire inévitablement l’oeil, et à force on finit par l’emprunter parce qu’on se demande bien comment c’est écrit à l’intérieur, et si le contenu est à la hauteur de ce que le titre annonce 😀 Voici donc Si les hommes avaient leurs règles, de Camille Besse et Eric La Blanche, sortie fin 2022.
Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! Je vous avoue que parfois, j’hésite à continuer ou non le blog. Déjà, les chroniques me prennent beaucoup de temps ; non pas que je sois en galère pour les sortir à temps, mais plutôt je suis en galère pour les écrire au rythme où je lis les livres concernés. Vous allez me dire, pourquoi t’embêter, ne fais pas de chroniques pour toutes tes lectures ! Seulement j’en reviens à la raison même pour laquelle j’ai commencé ce blog il y a 10 ans… je n’ai personne avec qui discuter de mes lectures. Instagram est très bien, mais ne me permet pas de développer autant qu’un article de blog ; et parfois, j’ai vraiment besoin de développer, de poser mes mots pour réfléchir à ce que je viens de lire. Bref, le dilemme est présent ^^’
Nouvelle chronique littéraire ! Encore une fois, une série issue de la collection Métamorphose aux éditions Soleil ❤ Et encore une fois, une magnifique découverte, que je tiens à partager avec vous 😛 Voici donc la série Les Ogres-Dieux, en 4 tomes, illustrée par Bertrand Gatignol et écrite par Hubert (scénariste malheureusement décédé à qui on doit d’autres très bons titres dont L’Esprit de Lewis, Peau d’Homme ou encore Le Boiseleur). Elle est indiquée comme étant terminée depuis 2020, année de la mort de Hubert ; m’est avis que c’est surtout ce dernier fait qui a mis un coup d’arrêt à la série, car un dernier tome aurait permis une véritable conclusion à l’histoire magistrale que la série déroule. Pour autant, passer à côté serait une grosse erreur !
Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! C’est mon anniversaire aujourd’hui, mais surtout, c’est bientôt Halloween ❤ La meilleure période de l’année, celle où je peux sortir au grand jour mes habits les plus glauques et me costumer même au boulot ! Un jour par an, tout le monde est sur la même longueur d’onde que moi. Films d’épouvantes, décorations horribles, sucreries à en perdre la santé, je le fais déjà toute l’année, mais le jour d’Halloween, tout a une saveur spéciale 😀
Nouvelle chronique littéraire ! J’aurais mis du temps à la lire, mais je suis ravie d’avoir pu trouver cette BD ^^ Les découvertes faites au festival d’Angoulême ont, elles aussi, une saveur spéciale parmi les autres livres de ma bibliothèque. Voici Magritte, Ceci n’est pas une biographie, écrite par Vincent Zabus et illustrée par Thomas Campi, publiée en 2016. Comme beaucoup, l’univers du peintre Magritte me fascine, j’ai pu trouver un livre de ses peintures et il ne me manquait plus qu’un livre pour en savoir plus sur l’artiste !
Coeur d'encre 595 