Un nom qui ne veut plus rien dire selon qui l’utilise, un prof de français, un puriste ou un passionné de n’importe quelle discipline ! Pour moi, je vais me contenter d’y mettre ce que je considère comme de grands noms ou de grands titres de la littérature tous genres confondus :)
Bien le bonjour, bande de gens, j’espère que vous allez bien ^^ C’est fou comme le simple fait d’avoir des bougies allumées chez moi me réconforte. Pour un peu, je transformerais bien l’appart en scène façon invocation rituelle, rien que pour le plaisir d’observer les petites flammes briller et réchauffer l’atmosphère. Bon oui, écrit comme ça, ça fait très pyromane. Mais sincèrement, regarder de jolies bougies brûler me donne un sentiment de sécurité que je savoure avec bonheur 🙂
Nouvelle chronique littéraire ! Et on est reparti pour continuer la série des Rougon-Macquart d’Emile Zola, série qui raconte l’histoire d’une famille dans la seconde moitié du XIXe siècle ; mais surtout, il s’agit pour l’auteur d’étudier les tares génétiques qui se transmettent au fil des générations et ramifications. Les romans sont également une peinture de la société de l’époque, le bon… et aussi le mauvais. Pot-Bouille est le 10ème volume de la série et a été publié en 1882, sachant que chaque tome peut se lire indépendamment des autres.
Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ^^ Les illustrations pour le roman avancent bien, j’espère pouvoir les terminer avant la fin de l’année mais ça va être serré ! Et après… tome 2 ! Mais ptet aussi une ptite pause, parce que ca fait un moment que mes weekend ne m’ont plus servi à me reposer 😅
Nouvelle chronique littéraire ! Ca faisait longtemps les enfants que je n’avais pas repris la saga des Rougon-Macquart de Zola. Pour mémoire, chaque tome peut se lire indépendamment ; mais le but avec cette série de romans était pour Emile Zola de montrer, comme un scientifique le ferait avec des cobayes, à quel point l’hérédité des défauts peut jouer sur les différentes génération d’une même famille. Aujourd’hui, je vous présente le neuvième volume de la série, Nana : publié en 1880, le roman se veut à la fois une description fidèle du milieu de la prostitution, ainsi qu’une critique féroce de la bourgeoise et de la noblesse du Second Empire, vautrées dans le luxe et le vice. N’hésitez pas à jeter un oeil aux précédents romans de la série : comme je l’ai dit, ils ne sont pas indispensables, mais ça permet de comprendre la famille dans sa totalité.
Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! Le blog reprend après la petite pause des fêtes, et je peux vous dire que ça a fait un bien fou 😀 On repart sur un rythme à trois articles par semaine au lieu de quatre, je vais voir si ça fonctionne mieux pour moi de cette façon. J’espère que le blog vous plaira toujours, n’hésitez pas à me donner votre avis ou un conseil en commentaire ^^ Sur ce, bonne année 2022 à tous et surtout courage tout le monde : c’est reparti pour un tour XD
Nouvelle chronique littéraire ! Je reprends la série des Rougon-Macquart, avec toujours plus de temps entre chaque roman XD Ce sont des livres qui demandent un peu d’attention, alors à chaque lecture je veux être sûre de les lire comme ils le méritent. Nous en sommes au huitième volume, mais il faut rappeler, comme toujours, que ces romans peuvent tout à fait se lire indépendamment les uns des autres, à part peut-être le premier qui permet de placer les aïeuls de la famille Rougon-Macquart. Voici donc Une Page d’amour, écrit vers 1878-1879, après la claque qu’a été l’Assommoir et juste avant le prochain chef d’oeuvre, Nana. Pour Zola, ce roman était une sorte de pause entre deux histoires plus violentes ; plus marquantes aussi, d’où le fait qu’il soit moins connu. J’espère que la chronique vous intéressera 😉 N’hésitez pas à lire aussi les chroniques des tomes précédents, les liens sont juste ici :
Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! Depuis quelques jours, on regarde avec mon copain les films animés d’un studio chinois, Light Chaser. Et certains sont trop bien ❤ Parfois délicats à trouver sans passer par la case téléchargement et il faut souvent les regarder en version originale sous-titrée, mais la qualité des animations est tout simplement magique ^^ Et du coup, on a découvert, après le Marvel Cinematic Universe et le Mondo Cinematic Universe (pour ceux qui connaissent), le Fengshen Cinematic Universe, basé sur les légendes et l’histoire de la Chine ❤
Nouvelle chronique littéraire ! Un dernier roman gothique et après, promis, j’arrête de vous embêter avec mes délires… pour l’instant 😛 Mais ici, on s’attaque au boss ultime du gothique, celui que tout le monde connaît même en n’ayant jamais lu ou vu l’histoire dans un film. Alors non, pas Dracula XD Certes c’est un monument, mais sur cette série de chroniques, je me suis surtout concentrée sur la première vague de romans gothiques, fin XVIIIe – début XIXe siècle (Dracula a été publié par Bram Stoker en 1897). Et non, il ne s’agit pas de L’Etrange Cas du Dr. Jekyll et de Mr. Hyde (1886 par R.L. Stevenson) ! Allez, un petit effort 😀 Bon d’accord, attachez vos ceintures les enfants, on embarque pour Frankenstein ou le Prométhée moderne de Mary Shelley née Wollstonecraft Godwin, publié pour la première fois en 1818. Je précise le nom car sa mère, Mary Wollstonecraft, était une intellectuelle elle aussi et une féministe avant l’heure. La naissance de ce roman est une célèbre anecdote historique : plusieurs écrivains réunis dans un voyage décident de se raconter des histoires effrayantes, et se lancent finalement un défi, celui d’écrire la meilleure histoire d’épouvante. Les participants étaient lord Byron (si vous ne le connaissez pas, sachez que c’est une immense référence de la littérature anglaise, aussi connu pour eux que Victor Hugo pour nous), Mary Shelley et son mari Percy (poète de grand talent) et John Polidori (qui écrira suite à ce défi The Vampyre, donc en soi on n’était pas très loin avec Dracula). Ce défi donnera l’idée à Mary Shelley de son célèbre roman Frankenstein ou le Prométhée moderne. Et rappelons deux choses : Prométhée est dans la mythologie grecque le titan qui a façonné la race humaine ; il est associé à Frankenstein car Frankenstein est le nom du savant qui a créé le Monstre, et non le nom du Monstre comme beaucoup de monde le croit ! Le Monstre n’a jamais eu de nom dans l’histoire.
Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ^^ Je crains d’avoir craqué pour ma part sur la collection naissante des Maîtres du Fantastique. Je suis faible devant les belles couvertures et les grands auteurs, je l’admets ! Je ne sais pas encore si je vais tenter l’abonnement, la question est toujours en débat, mais la tentation est dure à surmonter. Et vous, est-ce que vous avez déjà tenté ce genre de collections qui se constituent via un abonnement ?
Nouvelle chronique littéraire ! On continue sur les romans gothiques, j’espère que vous n’en avez pas marre mais au final j’en parlerai quand même 😛 On a déjà abordé pas mal de titres obscurs et d’incontournables, et avant de continuer je tiens à vous recommander une petite série de la maison d’édition Les Moutons Electriques, La Ligue des Ecrivaines Extraordinaires : c’est un concentré de références littéraires où Jane Austen, Ann Radcliffe, Mary Shelley et les soeurs Brontë combattent les méchants iconiques de la fiction gothique comme Dracula, le monstre de Frankenstein,… La série elle-même fait référence à La Ligue des Gentlemen Extraordinaires d’Allan Moore, une super histoire et un film tantôt aimé (mon cas) tantôt détesté mais cultissime dans tous les cas ! L’intégrale est sortie et j’annonce : c’est mon prochain craquage XD Mais revenons à nos moutons. Aujourd’hui on découvre Ann Radcliffe (1764-1823), une auteure qui a profondément marqué le roman gothique pendant la fin du XVIIIe siècle. Horace Walpole avait lancé le genre, Matthew Gregory Lewis avait créé une bête de référence mais c’est Ann Radcliffe qui a popularisé le genre avec toute une flopée de romans dévorés par des milliers de lecteurs des deux côtés de la Manche. Aujourd’hui, je vous propose de découvrir une de ses références, à savoir L’Italien ou le Confessionnal des Pénitents Noirs, publié pour la première fois en 1797. Ca me fait tout bizarre quand j’écris cette date, on s’en rend pas forcément compte, mais on lit des mots écrits plus de 200 ans avant notre époque. Ca me rend toute chose ❤