Archives de Tag: japon

Blue Eye Samouraï

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Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! P’tite question comme ça, vu que j’écris ces lignes un peu après Noël : vous fêtez Noël plutôt le 24 ou le 25 ? Est-ce que vous empilez les cadeaux pêle-mêle sous le sapin, ou est-ce que vous les rangez bien soigneusement au niveau des souliers de chacun ? On a eu les deux écoles cette année, et le mix des deux a fait quelques étincelles XD Mais comme toujours, l’émerveillement domine tout, quand les paquets dévoilent leur contenu. Et d’ailleurs, vous êtes plutôt du genre à déchirer le papier dans le feu de l’action, ou à le défaire bien proprement, tellement proprement que c’en devient inquiétant ? ^^

Nouvelle chronique de série ! Mon frère m’en a tellement parlé en long, en large et en travers, en des termes si dithyrambiques que je ne pouvais pas ne pas la regarder 😀 Un bon gros plaid et en avant pour binge-watcher Blue Eye Samourai, une série Netflix réalisée par Michael Green et Amber Noizumi, et animée par le studio français Blue Spirit.

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Poison City

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Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! Je suis dans une verve scripturale, les chroniques filent et défilent, je rattrape le retard accumulé, et je me redis encore une fois que décidément, ça me prend un temps monstrueux XD Mais c’est si agréable quand les mots viennent, quand je parviens enfin à poser des mots sur presque tous les sentiments que j’ai ressentis. Presque malheureusement, car puisque les chroniques à faire s’accumulent, j’en rédige beaucoup à froid 😛

Nouvelle chronique littéraire ! Un manga qui m’a été conseillé par ma cheffe au boulot, et je l’en remercie vivement ! Le sujet ne manque pas d’intérêt, et est même complètement d’actualité puisqu’il s’agit de la censure visant à protéger le jeune public des oeuvres jugées « nocives ». Voici Poison City, un manga en deux tomes de Tetsuya Tsutsui, publié en France en 2015.

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Ma p’tite collection d’artbooks #5 : les beaux livres de Pie Books

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Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! Au moment où je vous écris ces lignes, je suis fière de pouvoir dire que le tome 2 de mon roman avance bien 🙂 J’ai rempli un premier carnet, j’attaque le second. Mon premier jet en est au chapitre 8 ! Et d’ailleurs, le nouveau carnet est un peu spécial : c’est mon chéri qui l’a fabriqué. C’est sa première tentative, alors il n’est pas parfait, mais il a quand même fait un travail très soigné et tout ça juste pour moi ❤

Après ma chronique des Furtifs de Damasio, je me sentais un peu comme après ma lecture du roman : plein d’idées, envie de refaire le monde, inspirée à fond ! Et du coup, j’ai eu envie pour le post du samedi de vous présenter deux artbooks parmi mes plus foisonnants de détails et de virtuosité. Ce sont deux ouvrages que j’ai trouvé totalement par hasard en librairie, à deux moments différents : à chaque fois, j’ai craqué sans même réfléchir 😀 Les deux artbooks sont édités par la maison d’édition Pie Books, qui semble spécialisée dans les beaux livres si j’en crois ce que je peux voir d’eux sur le site de la Fnac. Attention cependant, ce sont des livres bilingues anglais-japonais donc… heureusement qu’il n’y a pas trop de texte ^^’ C’est juste un peu frustrant quand on a envie d’en savoir plus sur les illustrations ou lire la petite présentation de l’artiste. Mais la qualité graphique compense largement ❤

Le premier que j’ai trouvé est The Art of Munashichi.

Résumé : Munashichi est une illustratrice japonaise qui est devenue populaire en dessinant des mondes fantastiques de type steampunk. Elle s’est faite un nom dans l’industrie de l’animé et des jeux vidéo grace à Tales of Zestiria et Tales of Berseria ou à l’illustration conceptuelle de la série télévisée animée Princess Principals.
Avec des bâtiments gigantesques et remplis de détails, des cavernes à perte de vue, et des lieux abandonnés, on découvre un univers sombre et à couper le souffle qui est propre à Munashichi. Ce livre comprend les travaux d’illustrations passés de Munashichi, des images conceptuelles pour des jeux et des séries animées, des œuvres originales et des illustrations nouvellement dessinées pour ce livre.

Alors, beau livre ou pas beau livre ? 😀 Rien que la couverture fait baver, et ce n’est absolument rien comparé à tout le reste de l’ouvrage ! Je vous mets quelques illustrations ici. Le niveau de détails est tellement fou qu’on pourra se perdre dans les images pendant des heures, j’imagine à peine le temps que ça a dû prendre à l’artiste. Mais surtout, sa créativité, son imagination ! C’est riche, coloré, plein de vie même dans les décors les plus métalliques.

Le deuxième artbook est Embroidery, the art of Yoshioka.

Résumé : Retrouvez l’illustrateur Yoshioka qui nous invite dans un monde fantastique lors de ce premier livre, fait de plantes, d’animaux et de bien d’autres motifs. The Art of Yoshioka nous fait découvrir/redécouvrir les œuvres phares de l’illustrateur et nous présente également des illustrations tirées de la série animée télévisée « PSYCHO-PASS 3 », des illustrations de pochette de CD pour Who-ya Extended voire même la variante de couverture de « Bloodborne ».
Un article sur la réalisation de l’illustration de couverture est également inclus, offrant un aperçu du processus de création d’illustrations de Yoshioka : de l’environnement de travail au dessin d’esquisses, en passant par le dessin, la peinture et la finition. 

Celui-ci, c’était un gros coup de chance de le trouver ! Je l’ai vu totalement par hasard en librairie et en le feuilletant, je me suis aperçue que l’artiste avait réalisé plusieurs images que j’avais déjà vues et adorées sur Internet il y a quelques années. Evidemment, je n’ai pas même pas hésité, j’ai pris l’artbook ! L’univers de Yoshioka me plaît énormément, à la fois fantastique, un peu sombre, plein de délicatesse et d’étrange merveilleux. Comme pour le premier, je pourrais regarder les illustrations pendant des heures, et surtout elles me donnent envie d’imaginer des histoires pour aller avec les scènes que l’on voit.

Bref, ce qui est sûr, c’est que je vais soigneusement éplucher le catalogue de la maison d’édition pour mes prochains achats d’artbooks 😀 En plus, en faisant des recherches sur le site leslibraires.fr (un site qui regroupe des librairies indépendantes françaises), on peut y trouver certains de leurs livres : donc pas besoin de commander à l’autre bout du monde, on peut même soutenir les petits commerces 🙂

Connaissiez-vous déjà ces artistes ? En avez-vous d’autres à me conseiller ? Dites-moi tout en commentaire !


Florilège de films d’épouvante

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Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! Depuis quelques temps, j’essaye de plus en plus d’améliorer ma communication sur instagram : c’est laborieux et je sens que je vais galérer pendant un bon moment, mais j’y crois ! Et je crois aussi que je vais devoir renoncer à toute forme de sommeil et de vie sociale, si je veux conjuguer ça avec l’écriture + le boulot ^^’

Pour me détendre un peu, je mate des films d’épouvante. Bon oui, je suis bizarre, cherchez pas. Octobre approche à grands pas, honorez-le comme il se doit et frissonnez de peur 😛 J’ai piqué les codes de prime vidéo à mon frangin, donc je profite honteusement et j’écume le catalogue à ma disposition, si Shadowz ne me suffit plus. Insatiable, vous dis-je ! Bref, voici quelques uns de mes visionnages préférés, j’espère qu’ils vous donneront envie 😛

Shutter, de Masayuki Ochiai

Résumé : Alors qu’elle vient juste de l’épouser, Jane accompagne Ben à Tokyo où il doit faire des photos de mode pour un magazine. Au cours d’une excursion en voiture au Mont Fuji, les deux jeunes gens renversent une jeune fille apparue soudainement sur la route. Malgré leurs recherches, le corps reste introuvable.
Bien que choqué, le couple tente de reprendre une vie normale, mais Jane ne se sent pas à l’aise dans cette ville étrangère alors que Ben y a ses habitudes. Après sa séance de travail, le jeune homme découvre une forme blanche vaguement humaine sur tous ses clichés. Pour Jane, il ne peut s’agir que du fantôme de la jeune fille de la route, revenu pour accomplir sa vengeance…

Mon avis : Vous devez le savoir maintenant, j’adore les histoires de fantômes 😀 Celle-ci ne fait pas exception, malgré son score peu favorable sur Allociné. Je ne dois pas être très difficile ^^’ Apparemment c’est un remake d’un autre film, thaïlandais celui-ci. Bon, n’ayant pas vu l’original, je suis forcément un peu moins sévère !
Pour ma part, j’ai passé un bon moment devant l’écran, ni trop flippant ni pas assez 🙂 J’ai bien aimé le côté « étrangers au Japon » qui n’est pas trop mal traité, et le petit twist final qui fait un bon effet ! La hantise s’installe doucement et de façon implacable, j’adore ces phases de vertige qui terrifient les héros… même si après ils décident que tout glisser sous le tapis est sans doute la meilleure idée XD En parallèle, il y a aussi l’histoire de la relation entre Ben et Jane qui se dessine, prenant lentement un tour plus malaisant. Ca donne quelques indices sur dénouement final… mais je n’en dis pas plus !

The Night, de Kourosh Ahari

Résumé : Après avoir dîné chez des amis dans la banlieue de Los Angeles, un couple avec leur bébé décide de rentrer chez eux malgré l’heure tardive et l’excès d’alcool. Sur le chemin du retour, ils tombent en panne de GPS et se perdent. Vaincus par la fatigue, ils doivent trouver un endroit où passer la nuit, quand leur route les amène à l’Hôtel Normandie… La nuit s’annonce être sans fin…

Mon avis : Pas d’histoire de fantôme cette fois, mais un thriller psychologique dans un huis clos ! Et il se trouve que j’adore aussi les huis clos, alors banco 😀 L’hôtel va jouer avec nos nerfs et ceux des héros, jusqu’à ce qu’ils craquent ou qu’ils meurent. Les hallucinations bien trop réelles se multiplient, manipulent le couple sans la moindre pitié… mais dans quel but ? Sont-ils seulement des victimes innocentes ?

The Mortuary Collection, de Ryan Spindell

Résumé : Une jeune femme pénètre dans une très vieille maison funéraire afin de s’enquérir de l’annonce d’emploi affichée à l’extérieur. Elle est accueillie par l’imposant Montgomery Dark, croque-mort de son état. L’entretien d’embauche prend la forme de récits macabres racontés par le taulier, tous plus terrifiants les uns que les autres, pour le grand plaisir de la candidate.

Mon avis : Une très bonne surprise que ce petit film, teinté d’humour noir, d’improbable et de cette fascination qu’on pourra retrouver dans l’univers de Tim Burton 🙂 Le film est aussi assez généreux avec certaines scènes gores, parfois volontairement exagérées pour paraître aussi encore plus grotesques. Ce ne sont pas forcément mes parties préférées, et je préfère de loin les histoires elles-mêmes, pleines d’une sadique malice. Ici encore on a droit à un petit twist final, pas forcément très impressionnant, mais inspiré par ce même sens tordu de la justice qu’on a pu voir dans les premières parties du film.
Bref, un petit film fort sympathique, à tester avec quelques potes et des bières : mon petit doigt me dit qu’il doit être bien sympa aussi dans ce contexte ^^

Solomon Kane, de M.J. Bassett

Résumé : Dans un XVIe siècle ravagé par les guerres, le capitaine Solomon Kane est une redoutable machine à tuer, aussi brutale qu’efficace. Armé des pistolets qui font sa marque, de sa dague et de sa rapière, lui et ses hommes laissent libre cours à leur soif de sang alors qu’ils combattent au nom de l’Angleterre d’un continent à l’autre. Pourtant, lorsque Kane décide d’attaquer une mystérieuse forteresse quelque part en Afrique du Nord, sa mission va prendre un tournant fatal… Un par un, ses hommes sont décimés par des créatures démoniaques, jusqu’à ce qu’il reste seul face à l’envoyé du diable, venu des profondeurs de l’Enfer pour s’emparer de son âme atrocement corrompue. Kane parvient à s’échapper, mais il sait qu’il doit maintenant se racheter en renonçant à la violence et en se consacrant désormais à une vie de paix et de pureté. Sa nouvelle spiritualité ne tarde pas à être mise à l’épreuve lorsqu’il revient dans une Angleterre dévastée par des hommes diaboliques à la solde d’un être masqué terrifiant, l’Overlord…

Mon avis : Là, on est clairement dans le nanard XD Un bon p’tit film de dark fantasy à mater tranquillement, sans se prendre la tête, et en appréciant les visuels, certes clichés mais tout de même assez sympas. Je vous avais déjà parlé du personnage de Solomon Kane avec le roman du même nom, et j’étais curieuse de découvrir le film. Il est aussi bourrin et badass que je m’y attendais, et j’ai passé un bon moment devant 😀 Il ne révolutionne pas forcément le genre, et me fait énormément penser au Van Helsing avec Hugh Jackman, c’est le même esprit. Mais ça fonctionne, donc je recommande si vous avez envie d’une p’tite soirée détente, placée sous le signe des bonnes bastons et des gros démons ^^

Connaissiez-vous déjà ces films ? En avez-vous d’autres à me conseiller ? Dites-mois tout en commentaire 🙂

Parfum de Soie

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Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! Je commence à me passionner pour les bougies. Quelques bougies allumées quand le soir tombe, une petite couverture ou un coussin léger (fait chaud, on va pas se mentir), un bon livre, éventuellement un petit fond de musique détente… C’est fou comme quelques bougies peuvent me détendre. J’adore les regarder ! J’en ai quelques unes qui sont parfumées, mais Monsieur n’aime pas trop, alors je les garde juste pour moi et j’aère bien après 😛

Nouvelle chronique littéraire ! Je n’avais pas forcément prévu de vous parler de cette BD tout de suite mais… l’autre BD dont je comptais vous parler m’est totalement sorti de l’esprit, il faut que je la relise d’abord XD Bref, voici mon autre choix et certes pas des moindres, Le Parfum de Soie de Isabelle Plongeon et Carole Breteau et illustrée par Dana Dimat. Apparemment, il s’agit d’un one-shot et d’une reprise/suite à la BD Petite Geisha qui, selon mon site de référence, avait été abandonnée. Le scénario est inspiré du roman Mémoire d’une geisha d’Arthur Golden (il est dans ma PAL, il faut vraiment que je m’y mette ^^).

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