Nouveau dimanche, nouvelle découverte ! Je continue le rendez-vous que j’ai trouvé chez Book & share, et inauguré par le blog Ma Lecturothèque 🙂 Le principe de ce post est de prendre un livre chaque semaine pour vous en citer les premières lignes, mais ici je triche un peu ! Comme il n’y a pas de lignes ici, ce seront les premières images ^^ N’hésitez pas à cliquer dessus pour mieux les voir, ou à aller sur le site Bedetheque sur lequel j’ai pioché les images : il y en aura quelques unes supplémentaires, et notamment les premières scènes d’action ❤
Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! Hier soir mon compagnon a voulu me montrer comment préparer du poulet teriyaki, mais j’ai eu un p’tit problème inattendu… à savoir qu’à force de le regarder trifouiller la viande, je me suis sentie très mal, du genre à ne pas savoir si mon corps voulait que je m’allonge là maintenant tout de suite, ou que j’aille me mettre à quatre pattes au-dessus des WC. Et pourtant, je n’ai absolument aucun problème avec le fait de manger de la viande, en tout cas jusqu’ici ^^’ D’après Monsieur, c’est tout à fait normal et probablement dû au fait que jusqu’à présent, mon expérience de cuisine carnivore n’impliquait pas de dépiauter une pièce de viande. Ceci dit, j’avoue que je ne m’attendais vraiment pas à ce que la réaction soit aussi violente. Je promets de ne plus jamais minimiser la chose quand quelqu’un se met à gerber de dégoût. Et je suis très heureuse d’avoir quand même pu manger le poulet teryaki : j’adore quand mon compagnon en prépare, ça m’aurait fait mal de ne plus pouvoir en manger à cause de ça ^^
Nouvelle chronique littéraire ! Aujourd’hui, un livre qui me faisait clairement de l’œil sur les rayonnages de ma bibliothèque. Ce n’était pas une nouveauté, mais on l’avait mis en présentation car il ne sortait pas beaucoup. Je n’osais pas l’emprunter au début, parce que je me disais que les livres étaient d’abord là pour les usagers, que les bibliothécaires passent ensuite. Et puis, le temps passant, personne ne se décidait à l’emprunter… j’ai finalement eu pitié de ce pauvre livre mal aimé dont personne ne voulait après plusieurs jours (bon j’avoue, même pas une journée). J’ai craqué, et j’ai donc emprunté La Cité des livres qui rêvent de Walter Moers, écrit en 2004. Alors c’est un peu compliqué de comprendre si c’est un tome seul ou non, dans la mesure où la fiche wikipedia du livre indique que c’est… un tome 4. Bon. Perso, je n’ai pas eu trop de problèmes, et de toute façon, il n’y a pas trace en France de tomes 1, 2 ou 3 ! Donc en avant !
Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! Récemment, j’ai enfin goûté les mochis au haricot rouge : c’est une spécialité sucrée japonaise, une boule de pâte de riz fourrée avec de la pâte de haricot rouge. En vrai, ça peut être fourré avec un peu tout et n’importe quoi, je n’ai pas encore goûté au thé vert, mais je vous recommande les mochis glacés à la vanille ! Et pourquoi le haricot rouge, tout simplement c’est parce que, historiquement, les Japonais n’avaient à la base pas de quoi faire du sucre, et la pâte de haricot rouge, c’est ce qui s’en rapprochait le plus pour eux. Donc ! J’ai goûté et… bon ben j’avoue, je préfère toujours les mochis glacés à la vanille XD
Nouvelle chronique littéraire ! Un roman graphique jeunesse très particulier, qui m’a immédiatement sauté aux yeux ^^ J’avais hâte de pouvoir vous en parler, le moment est enfin venu. Il s’agit du premier tome de la série Timeless, Diego et les Rangers du Vastlantique de Armand Baltazar, publié en 2018. Qui est Armand Baltazar ? Accrochez-vous : passionné de peinture narrative, il s’est néanmoins dirigé vers le cinéma et l’animation, jusqu’à devenir directeur artistique pour DreamWorks, Walt Disney ou encore Pixar ! Et vous avez déjà vu ses oeuvres, car il a travaillé notamment sur La Princesse et la Grenouille et Rebelle. Ca lui a donné envie de se concentrer sur son propre projet, pendant son temps libre (et pour tenter de faire la même chose, j’admire doublement) : Timeless.
Bien le bonjour, bande de gens, j’espère que vous allez bien ^^ C’est avec une grande émotion que je vous annonce aujourd’hui la fin de ma collection de livres « Les Maîtres du Fantastique ». Commencée il y a plus d’un an, avec presque un bouquin paru par semaine, elle compte 70 volumes, ni plus ni moins (ne me demandez pas le prix total, je n’ose pas le calculer 😭). Elle aura carrément la classe sur l’étagère… une fois que j’aurai la place de monter ladite étagère, et que je pourrai la ranger autrement qu’en bien trop haute pile contre le mur 😅
Nouvelle chronique de film ! Celui-ci, il fait partie de mes petites madeleines de Proust, sans même que je sache pourquoi. Impossible de me rappeler l’intrigue à la base, je suis presque sûre que je ne l’avais pas vu en entier la première fois, et pourtant certaines scènes m’avaient marquée. Mesdames et messieurs, ici nous parlons d’un monument du cinéma français, un dessin animé qui a prouvé que les adultes aussi pouvaient s’adonner au genre, qui a marqué le monde entier et inspiré les fondateurs du studio Ghibli (Miyasaki et Takahata), rien que ça ! Voici donc Le Roi et l’Oiseau de Paul Grimault et Jacques Prévert, oui, nous parlons bien du célèbre poète français 😉 Sorti une première fois en 1953 mais désavoué par ses créateurs, le film avait pourtant eu un succès international ; en 1980, Grimault parvient à enfin sortir le film tel qu’il l’avait imaginé avec Prévert, décédé 3 ans plus tôt.
Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ^^ Admirez les progrès culinaires (j’en fait à peu près un tous les 3 ans, entre les plats de pâtes et les conserves) : je sais désormais comment préparer des sashimis maison, grâce aux cours particuliers de Monsieur ! Bon, c’était aussi parce que ledit Monsieur en avait marre que ce soit tout le temps à lui de les faire Rendez-vous dans 3 ans pour le prochain progrès, en attendant je vais aller réchauffer une pizza.
Nouvelle chronique littéraire ! Et on repart du côté de la science-fiction pour varier un peu les plaisir ^^ J’ai trouvé ce roman d’occasion, et je l’ai pris un peu par hasard, parce que pourquoi pas 😛 Il s’agit de L’Algébriste, un roman space opera de Iain M. Banks publié en 2004. Ouep, le titre donne des sueurs froides si comme moi vous êtes fâché avec les maths XD Pour ceux qui ne savent pas, le space opera est un genre de la science-fiction qui désigne des récits dans l’espace, avec aventures épiques, cadre géopolitique plus ou moins complexe, éventuellement guerre ou rigueur scientifique dans l’écriture. Le meilleur exemple, c’est Star Wars 🙂