Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! En réfléchissant sur ce que j’allais bien pouvoir vous confier aujourd’hui, j’ai été tentée par la solution de facilité : balancer une expression bidon et farfelue type « théière à bretelles » et vous laisser dans l’incompréhension la plus totale devant l’expression loufoque de mon génie. Mais le piège s’est retourné contre moi et maintenant je me demande à quoi pourrait ressembler une théière avec des bretelles. Est-ce qu’elle aurait des jambes pour lui mettre un petit pantalon ? Ou bien les bretelles ne retiennent que le couvercle et tout le reste est une immense salopette, tel un grand-père qui remonte sa ceinture aux aisselles ? A moins que ce ne soit une très jolie robe salopette, laissant apparaître des dessous de théière affriolants et scandaleusement indécents……. Ouep, thé corsé ce matin.
Nouvelle chronique littéraire ! En bonne fan de Christian Jacq et de l’Egypte ancienne (je crois bien que c’est un passage obligé pour tout môme qui se respecte), j’ai une étagère dédiée à ses romans, et le temps est venu d’en faire sortir quelques uns de ma PAL : en l’occurrence, la trilogie de La Reine Liberté, parue pour la première fois en 2001. Ca faisait un bon bout de temps que je n’étais pas revenue à ces romans, je sortais d’une cure d’horreur corsée sans vraiment avoir envie d’en sortir ; le hasard a désigné un genre totalement différent, et pendant les premières lignes, j’ai crains avec nostalgie que cela ne me corresponde plus… Juste pendant les premières lignes 😛
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