
Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ^^ Est-ce que pendant vos heures de travail vous pouvez écouter de la musique ? Pour ma part, c’est le cas ; au bout d’un moment, je me suis même mis des sketches de François Perusse, le Donjon de Naheulbeuk, et actuellement ce sont des creepypastas en anglais, histoire de corser la difficulté XD Et vous, qu’écoutez-vous pendant le travail ? 🙂
Nouvelle chronique littéraire ! Je vous ai déjà parlé de la maison d’éditions Oneiroi, mais si jamais vous êtes un nouveau venu sur le blog… bienvenue dans un premier temps, mettez-vous à l’aise ^^ Et ensuite, Oneiroi est une maison d’édition née en 2019 avec pour but de promouvoir le steampunk, un genre littéraire et artistique qui revisite le XIXe siècle. Si vous voulez en savoir plus, n’hésitez pas à consulter la page dédiée de ce blog, « Steampunk : qu’est-ce donc ? ». Oneiroi publie, outre de très bons romans, des recueils de nouvelles steampunk thématiques pour aider à découvrir le genre : le premier concernait l’écologie, le deuxième les luttes entre classes sociales. Le troisième volume que je vous présente aujourd’hui explore les frontières culturelles et les différences entre différents peuples. En effet, le XIXe siècle est aussi l’époque des grands voyages d’explorations (menés par des hommes mais aussi des femmes, je vous conseille l’excellent album Elles ont conquis le monde si vous voulez en savoir plus 😉 ), des découvertes de civilisations, et malheureusement aussi des zoos humains des Expositions Universelles. Bref, il y a matière à réinventer tout cela, sous la plume de 4 auteurs : Tepthida Hay (qui nous a déjà régalés dans la précédente anthologie), Caroline Léger, Benjamin Lupu et Ostramus.
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