Bleak House

Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! Joie et bonheur, la fibre est enfin chez nous 🙂 Ca nous a pris plusieurs mois, et pas mal d’échanges avec l’opérateur qui multipliait les interventions sans que rien ne change ; et finalement, changement d’opérateur, le nouveau a réglé la question en deux coups de cuillère à pot ! Internet coule à flot et nous avons une petite nouveauté en la personne de notre décodeur TV : ça faisait des années que je ne regardais plus la télé au profit du streaming. La première chose que j’ai fait, ça a été de regarder les infos, le truc que je n’aurais jamais fait de mon plein gré il y a encore quelques années. Ca y est, je suis adulte XD

Nouvelle chronique littéraire ! Ne me demandez pas comment j’ai mis la main sur celui-ci, je n’en ai plus aucune fichtre idée. Toujours est-il que je me suis retrouvée avec dans mes étagères une édition en anglais de Bleak House de Charles Dickens (1812-1870), soit en bon françois, La Maison d’Âpre-Vent. Le hasard l’a désignée pour être ma prochaine lecture, mais je commence à me dire qu’entre Les aventures de Mr Pickwick il y a quelques semaines et celui-ci, Mr Dickens essaie probablement d’influencer ma bonne étoile depuis sa tombe. Bref ! Pour vous resituer, le roman est paru pour la première fois entre 1852 et 1853. On est sur un domaine que j’adore : la littérature anglaise du XIXe siècle ❤

Née contente à Oraibi

Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! La fatigue, c’est quelque chose de terrible. Les yeux se mettent à piquer, la tête est lourde et soudain on a du mal à aligner deux mots sur le clavier. La vidéo qu’on a mis à côté pour essayer de se tenir éveillé a l’effet exactement inverse, elle aspire le cerveau et on se dit que ça ne fera pas de mal de se poser devant pendant 5mn, juste le temps de reposer l’esprit avant d’y retourner. Et puis, tant qu’à faire, ces coussins pour caler le dos sont aussi très confortables pour s’allonger… On ferme les yeux, mais c’est juste pour 2mn…

Nouvelle chronique littéraire, je suis réveillée !! J’avoue que j’ai pris ce livre un peu au hasard, pour l’avoir vu plusieurs fois passer. Une fois, deux fois, trois fois… la curiosité a fini par l’emporter 🙂 Voici Née contente à Oraibi, de Bérengère Cournut, publié en France en 2016. L’auteure a déjà publié de nombreux livres, mais celui-ci en particulier se base sur un voyage qu’elle a réalisé en Arizona, pour partir à la rencontre du peuple amérindien des Hopis.

Les Ogres-Dieux

Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! Je vous avoue que parfois, j’hésite à continuer ou non le blog. Déjà, les chroniques me prennent beaucoup de temps ; non pas que je sois en galère pour les sortir à temps, mais plutôt je suis en galère pour les écrire au rythme où je lis les livres concernés. Vous allez me dire, pourquoi t’embêter, ne fais pas de chroniques pour toutes tes lectures ! Seulement j’en reviens à la raison même pour laquelle j’ai commencé ce blog il y a 10 ans… je n’ai personne avec qui discuter de mes lectures. Instagram est très bien, mais ne me permet pas de développer autant qu’un article de blog ; et parfois, j’ai vraiment besoin de développer, de poser mes mots pour réfléchir à ce que je viens de lire. Bref, le dilemme est présent ^^’

Nouvelle chronique littéraire ! Encore une fois, une série issue de la collection Métamorphose aux éditions Soleil ❤ Et encore une fois, une magnifique découverte, que je tiens à partager avec vous 😛 Voici donc la série Les Ogres-Dieux, en 4 tomes, illustrée par Bertrand Gatignol et écrite par Hubert (scénariste malheureusement décédé à qui on doit d’autres très bons titres dont L’Esprit de Lewis, Peau d’Homme ou encore Le Boiseleur). Elle est indiquée comme étant terminée depuis 2020, année de la mort de Hubert ; m’est avis que c’est surtout ce dernier fait qui a mis un coup d’arrêt à la série, car un dernier tome aurait permis une véritable conclusion à l’histoire magistrale que la série déroule. Pour autant, passer à côté serait une grosse erreur !

La Chute de la Maison Usher

Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! Connaissez-vous le festival de littérature jeunesse de Montreuil ? C’est le plus gros festival consacré à ce thème en France ; il a lieu en novembre, et j’ai eu la chance de pouvoir y aller pour l’édition 2023. J’y allais dans le cadre du boulot, donc je suis restée sage pour ne pas dépenser, mais en vrai, j’étais comme une gamine dans un magasin de jouets. Tellement de beaux livres, d’éditeurs, d’auteurs et d’illustrateurs surtout ! Il y en a pour tous les goûts, tous les âges, toutes les couleurs. Je meurs d’envie d’y retourner l’année prochaine, mais sur mes congés, pour pouvoir me lâcher comme l’enfant que je n’ai jamais cessé d’être 😀 Et puis franchement, dire à quelqu’un qui revient de ce festival que ce sont des livres uniquement pour les enfants et pas pour les adultes, ce serait d’une cruauté absolument gratuite.

Nouvelle chronique de série et changement d’ambiance ! On quitte la littérature jeunesse pour l’épouvante, avec une série Netflix que j’avais hâte de visionner ❤ Après avoir vu The Haunting of Hill House, The Haunting of Bly Manor et Sermons de Minuit, trois excellentes séries réalisées par Mike Flanagan et portées par des acteurs de talent, j’avais extrêmement hâte de découvrir sa dernière série, La Chute de la Maison Usher. D’autant plus que, d’après le titre principal mais aussi ceux des différents épisodes, la série est grandement inspirée de l’univers d’Edgar Allan Poe, un grand maître de l’épouvante littéraire dont j’adore l’œuvre ❤

Le Livre de l’Enigme

Bien le bonjour bande de gens, j’espère que vous allez bien ! Semaine assez mouvementée de mon côté, puisque je me suis fait bêtement et purement voler mon portable dans le métro. Joie. Heureusement que je connaissais quelques numéros par cœur, autrement j’étais partie pour dormir dehors. Donc obligée de changer tous les mots de passe, de galérer pour toutes les applis qui exigent la vérification par SMS (mais je peux PAAAAAAAAAAAS !!!), et de dire adieu à plus d’un an de souvenirs et de contacts. C’est long un an. On dit souvent qu’on va faire regretter à la personne d’être née, mais pour le coup je ferais bien remonter les regrets un peu plus loin, genre la rencontre de ses grands-parents. Minimum.

Nouvelle chronique littéraire ! Le saviez-vous ? A Bordeaux il y a une librairie spécialisée dans les genres de l’imaginaire, bien achalandée et avec en plus des beaux livres et ouvrages de petits éditeurs méconnus. Il s’agit de la Librairie du Basilic, et je ne saurais que trop vous la recommander ! Or, j’ai eu la chance d’être présente lorsqu’ils ont accueillir un déstockage de la maison d’édition Les Moutons Electriques (que je vous recommande aussi). Autant vous dire qu’à la fin de la journée, j’étais surchargée, heureuse, et même pas ruinée ❤ Et parmi la pile d’acquisitions, il y avait cette série en deux volumes : Le Livre de l’Enigme de Nathalie Dau.