Bien le bonjour, bande de gens, j’espère que vous allez bien ^^ C’est avec une grande émotion que je vous annonce aujourd’hui la fin de ma collection de livres « Les Maîtres du Fantastique ». Commencée il y a plus d’un an, avec presque un bouquin paru par semaine, elle compte 70 volumes, ni plus ni moins (ne me demandez pas le prix total, je n’ose pas le calculer 😭). Elle aura carrément la classe sur l’étagère… une fois que j’aurai la place de monter ladite étagère, et que je pourrai la ranger autrement qu’en bien trop haute pile contre le mur 😅

Nouvelle chronique de film ! Celui-ci, il fait partie de mes petites madeleines de Proust, sans même que je sache pourquoi. Impossible de me rappeler l’intrigue à la base, je suis presque sûre que je ne l’avais pas vu en entier la première fois, et pourtant certaines scènes m’avaient marquée. Mesdames et messieurs, ici nous parlons d’un monument du cinéma français, un dessin animé qui a prouvé que les adultes aussi pouvaient s’adonner au genre, qui a marqué le monde entier et inspiré les fondateurs du studio Ghibli (Miyasaki et Takahata), rien que ça !
Voici donc Le Roi et l’Oiseau de Paul Grimault et Jacques Prévert, oui, nous parlons bien du célèbre poète français 😉 Sorti une première fois en 1953 mais désavoué par ses créateurs, le film avait pourtant eu un succès international ; en 1980, Grimault parvient à enfin sortir le film tel qu’il l’avait imaginé avec Prévert, décédé 3 ans plus tôt.