Bonjour bonjour ! Vous savez, je pense de plus en plus à tenter de faire une critique de livres par vidéo, mais faut créer un compte Youtube, et je suis du genre technophobe… dilemme
Oui, technophobe dans le sens qu’internet me connaît suffisamment, mon compte facebook est ma plus grande honte et ce blog ma plus grande réussite, jusqu’au jour où je réussirai à pirater des films. Est-ce que quelqu’un pourrait me donner des conseils en la matière ? (les vidéos Youtube hein, pas le piratage) Je sais que caroverdelivre (dont l’image de profil est juste parfaite ^^ son blog n’est pas en reste donc voili voilou) fait elle-même des vidéos alors maintenant, ça me trotte encore plus dans la tête ! Help ?
On passe à la chronique du jour, celle d’une trilogie de James Herbert que j’ai empruntée à la médiathèque. On se demande pourquoi j’y vais, ma PAL me fait les gros yeux à chaque fois que je reviens avec plus de bouquins que je n’en ai rendu. Voici les 3 tomes :
– Les rats (1974) – Le repaire des rats (1979) – L’empire des rats (1984)
Je ne ferai de résumé que pour le premier, et j’essaierai de détacher un maximum dans l’avis, mais je ne vous promet rien, ayant déjà rendu les livres à la médiathèque.
Résumé : Les rats : Harris est un simple prof de dessin dans un collège de Londres. Il aime son métier, il se débrouille bien avec les élèves, tout va à merveille dans son couple, bref, un vie tranquille et agréable. Un jour, Keogh, un de ses élèves, revient blessé par, à ce qu’il dit, un énorme rat noir. Harris l’emmène à l’hôpital, tout en pensant que le gamin a exagéré sous le coup de la frayeur. Keogh mourut 24 heures plus tard, dans d’atroces souffrances provoquées par une forme aggravée et fulgurante de leptospirose. Harris est alors sollicité, en tant qu’adulte ayant accompagnée Keogh à l’hôpital et entendu son récit. Il accompagne les dératiseurs sur le lieu où le gamin à été mordu, et se retrouve nez à museau avec des rats noirs, pas effrayés pour un sou et même franchement agressifs. De la taille d’un chien, avec un pelage noir, des incisives et des griffes tranchantes, ils ont un goût prononcé pour la chair humaine. Les médias accusent l’insalubrité des quartiers pauvres, les politiques font des promesses vides. Le temps passe, on oublie. Les attaques commencent. Des vagues de rats déferlent dans le métro, dans les écoles, partout dans la ville. La marée noire ne laisse derrière elle que des monceaux de cadavres grignotés, sanglants et pourrissants, et Londres vit dès à présent dans la peur… Lire la suite →