La Septième Epée

Bien le bonsoir bande de gens, comment allez-vous ? Un peu claquée, mais j’arrive à me trouver du temps pour écrire et dessiner :3 J’ai ENCORE loupé l’article du samedi, ma faute, je n’avais pas du tout d’idée 😦 Mais je crois avoir trouvé quelque chose, donc normalement, vous aurez un article à vous mettre sous la dent samedi, promis !

Nouvelle chronique littéraire, aujourd’hui un nouveau Précieux de chez Bragelonne ^^ Il s’agit de l’intégrale d’une trilogie, La Septième Epée, de Dave Duncan. Cet auteur canadien est très connu pour ses romans de fantasy (une trentaine à son actif), et pour le soin qu’il apporte à ses personnages et à ses univers. Personnellement, je ne le connaissais pas avant de finir ce livre, j’avoue avoir pris le bouquin sur un coup de tête… et aussi parce qu’une intégrale à 10 euros, je craque 😛

Dagon et une invitée ^^

Bien le bonjour bande d’étranges êtres verts et violets ! Mon voisin semble confondre le silence et la sono à fond, je commence à avoir des envies de meurtre… Faut dire que j’ai une faux, une hache, des couteaux de cuisine et un noeud coulant dans mon appart aussi XD

Pour aujourd’hui je vous propose une petite chronique littéraire sur un recueil de nouvelles, écrites par le délicieux et sublime Lovecraft (oui, ses restes sont délicieux, surtout en infusion). Pour ceux qui dormaient au fond je rappelle, H.P. Lovecraft est un écrivain américain du début du XXème siècle, connu pour ses récits effrayants, mystérieux, fantastiques ou de science-fiction. On le connaît surtout pour ses grands textes comme ceux relatifs au mythe de Ctulhu, un être divin des temps anciens auquel on voue des cultes aussi fascinants que sanglants. Le mythe de Ctulhu est particulièrement apprécié de la communauté geek, et a notamment donné un jeu de rôle extrêmement fourni, qui me fait baver rien qu’avec les couvertures des livres ^^ Voilà pour la petite explication, mais le recueil ici présent n’a rien à voir avec les grands textes de Lovecraft, il y a une trentaine de nouvelles sans liens les unes avec les autres.

Le juge d’Egypte

Bonjour ! Avant de commencer cet article, j’aimerais vous faire lire un article d’un autre blog. Il n’a rien à voir avec ce dont je vais parler, mais il m’a marqué et je pense que tout le monde devrait le lire, ne serait-ce que pour prendre conscience : http://carnetparisien.wordpress.com/2014/06/22/je-suis-fatiguee-detre-une-fille/

Commençons à présent ! Je suis en période de stress intense : d’une part l’oral de français qui m’attend au détour du mercredi comme un égorgeur des bas-fonds au sourire sadique et d’autre part un problème d’oreille qui dure depuis 3 semaines et qui commence légèrement à me faire péter une durite. Faut savoir que je tiens de ma mère : je stresse très facilement. Alors imaginez ce que ça donne, si je vous dis que même avec des trucs aussi bêtes j’ai fondu en larmes ce matin ! J’y ai pas tellement mal à l’oreille, mais depuis trois semaines, l’imagination prend le dessus et je m’imagine devenir sourde. Je n’ai pas le droit de me baigner pour le moment (et ça fout les boules) ni le droit d’utiliser mes écouteurs (et là je crois que je vais bientôt exploser : mon iPod c’est ma vie.)

Bon, essayons de redevenir calme (haha, rire jaune). Aujourd’hui je vais vous présenter le bouquin que vous avez pu voir à droite dans la case Lecture en cours. Il s’agit de l’intégrale de la trilogie Le juge d’Egypte, écrite par Christian Jacq. C’est à la base un auteur que j’aime beaucoup, autant pour l’univers que pour le style d’écriture qui est fluide et très agréable à lire.

Percy Jackson

Bonjour ou plutôt bonsoir, je profite d’une soirée plus ou moins libre pour larguer un petit article vite fait. Ben oui, vous comprenez, le Bac Blanc, bientôt le Bac, Alessandra, mon petit neveu extrêmement mignon mais qui n’a hélas pas de bouton pause… Vous avez saisi l’idée je pense. Actuellement, un concert se déroule juste derrière ma chaise : Papa plaque des accords plus ou moins réussis sur la guitare et Noah tape allègrement sur un tamtam. L’ensemble est… intéressant ^^

Donc, que vous dire de nouveau, finalement pas grand’chose, je me débats dans mes révisions, je fais un peu de jogging, et j’ai commencé à boire du thé. Myrtille muffin. Top avec des macarons 😛

Enchaînons sur la critique littéraire de ce jour-ci : Percy Jackson ! Pour ceux qui ne connaissent pas ou vaguement, c’est une série de romans de fantastique, en 5 tomes et publiée entre 2005 et 2010 par Rick Riordan. C’est ma « dealeuse » de bouquins qui m’a fait lire, autrement dit, la mère de ma meilleure pote (d’ailleurs la pote en question se désespère devant notre petit commerce). Un nouveau cycle de la série avec les mêmes personnages est en train de sortir, les premiers tomes ne doivent pas encore être en poche. Il s’agit des Héros de l’Olympe, corrigez-moi si jamais je me trompe. Je sais que des films sont sortis, mais ne les ayant pas vus, je vous invite à ajouter vos avis.

Percy Jackson

Bijour ! J’ai presque fini de tricoter la couverture pour ma petite Maman chérie ^^ Plus qu’à assembler les carrés de laine pour obtenir un (presque) parfait patchwork oh yeah ! Ensuite, j’ai promis à ma correspondante italienne de lui faire une écharpe, mais là, ça va être chaud à faire pour pouvoir lui apporter en Sicile, va falloir faire tricot non-stop ! Et racheter de la laine aussi, ce serait utile… Enfin bref, que d’émotions.

Sans plus attendre, passons au livre de cet article : Percy Jackson, le voleur de foudre, de Rick Riordan. Alors, je vous avoue que je viens tout juste de lire le premier tome. Ben oui, les fan vont m’attacher à un poteau et me brûler vive, mais faut faire des choix dans la vie, mon porte-monnaie (enfin celui des parents plutôt) en dépend ! Enfin, l’oubli est réparé, grâce à la mère de ma meilleure amie qui m’a prêté ledit bouquin.